[Fiction] Poupée Désarticulée

Bon c'est une fic avec les membres du fo'.
Je prends des gens selon mes besoins pour l'histoire;
C'est un peu inspiré des "Enfants du plastique" c'est pas faute je suis marquée par ce bouquin, enfin surtout par le personnage principal<33

Pour l'instant on a:
Angélique.
Morgane.
Sarah.
*Elisa*
*Kim*
*Niph'*

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Prologue:

Elle était chaude et douce, duveteuse comme une pêche. Sa teinte était parfaite. Leurs bouts étaient rouges, celui à la mode, flashy le même que celui de toute l’Europe. Elle m’appartenait, je la tenais, je ne la lâcherais jamais. Nos mains unies pour la vie. La mienne, je l’avais choisie, elle m’avais accepté entier et me l’avais plus que rendu.

On était là assis au bord de cette falaise regardant la mer s’entrechoquer continuellement avec la pierre, tandis que nos doigts se faisait sagement l’amour. Ces derniers temps, une de celles qui m’appartenaient glissait et escaladait indéfiniment le long de son ventre plat. Une dans la mienne, l’autre protégeant une part de nous.

J’aurais bientôt dix minuscules doigts à protéger en plus des tiens mon Angel.

Dis, tu les peindras aussi en rouge les siens ?

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Dites moi ce que vous en pensez ^^

Avec les gens du fo'? j'peux cruster??? *yeux du chat potté*

Pas mal le début...j'aime bien le style. J'veux une suite ça m'a l'air très prometeur cette fic ^^

Les filles je verrais selon les rôles qui me manque ^^
Si yen a une qui veut faire maîtresse xD
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Je l’admirais, ma princesse. Ses cheveux mi-blonds mi-bruns encadraient son visage aux courbes parfaites si semblables tout en étant uniques aux autres. Ma petite Julia, elle illuminait ma vie par son sourire. Tu en étais presque jalouse, Angel. Mais tu n’avais pas de soucis à te faire, tu domiciliais dans mon cœur, notre Julia aussi. Vous étiez les femmes de ma vie, mes femmes.

Ton petit thorax aux airs si fébriles me prouvait que tu dormais, Julia. Ton sourire était imprimé sur ton visage. Et je ne pouvais supporter que quelqu’un le fasse disparaître à jamais. Les problèmes des adultes te semblent si lointain ma Julia mais tu comprendras bientôt que tout le monde n’est pas tout blanc ni tout noir. Cependant que tu es là, quand j’entends ton rire, les gazouillis de ton ventre, j’oublie les miens de problèmes, ceux que j’ai avec ta maman.

« Je pars bientôt, Julia. Juste après t’avoir déposé à l’école. Ton premier jour, ma chérie. Mais je reviens Samedi… »

Il y a eu cette sonnerie, celle qui t’a réveillé, ma puce. Celle que je déteste. Elle résonne en moi, me fait trembler. Ta berceuse, Angel, celle que j’ai écrite le jour où on a su pour Julia. Tu avais associé ces douces notes de mon piano au travail, pire au travail urgent. Tu disais que comme cela j’étais toujours avec toi, que je t’accompagnais quand tu allais de faire engueuler par ton patron. Mais moi je voyais cela autrement.

« Je dois y aller, mon amour. C’est urgent »

Je retenais de sortir le « ça l’est toujours » qui me brûlais la gorge. Ton premier jour, Julia. Ton premier…

« Je demanderais à Sarah de passer la chercher si je ne
peux pas. Je t’aime. »

Tu as émis un petit cri, ma puce, comme si tu avais peur qu’on oublie.

« Je t’aime aussi, Ju’. Tu raconteras à maman comment ça s‘est passé aujourd’hui, hein ? »

Et tu es partie, en laissant derrière toi le goût de fraise de ton rouge sur mes lèvres.

A dans cinq jours, mon amour.

Wow, j'aime énormément !!
Très très bien écrit, et drolement original comme mannière de présenter les choses...

J'aime, tout simplement !!

Une suite please...

(Si tu as besoin de quelqu'un encore dans ta fic, un autre perso, je suis là )

J'aime beaucoup mais vite la suite stp

J'aime.

C'et beau.

Suite ?

J'adore =)

Tu déambulais de ta démarche mal assurée, mais tellement gracieuse et moi je n’ai rien vu. Tu me rendais aveugle, ma chérie. Ta beauté m’éblouissait. J’en devenais presque paranoïaque. Quand tu trottinais inconsciente devant moi et que tu en oubliais de t’arrêter au passage, j’avais des sueurs froides. Je savais pourtant que dans cette petite ruelle si sombre en hiver, personne ne passait. Hormis heure de pointe autrement dis à l’ouverture de ton école ma chérie.

« Deutsche Schule Paris »

Ton école, ma puce. Tu vas y pratiquer nos de langues à ta maman et à moi. Aux prochaines vacances, je t’emmènerais avec moi. Tu verras les gars. Je sais qu’ils te manquent. La situation ne pourra plus longtemps durer, ma puce. Mon temps pour enregistrer est chronométrer, mes TGV effritent nos chansons et toi, mon cœur, toi, tu me manques, tu occupes mon esprit. J’en deviens gaga. Je suis presque bon à recycler. Mais du moment que je peux composer pour toi, ma puce, le monde est cruellement beau.

Combien de morceaux traînent dans le MP3 simpliste dans ton sac ? Une douzaine ? Combien trônent dans ma tête ? Combien ?

Tu sais, Julia, j’y ai longtemps pensé à notre avenir. J’ai déménagé dans cette riche banlieue proche de Paris tout en sachant que ça mettait en péril Panik. Le travail de ta maman. Elle veut gravir les échelons, faire partie de ceux qui comptent et moi je voulais être près de vous. Je fais quatre jours avec eux qui comprennent que trop bien mais qui désapprouvent et trois
avec toi. Mais j’ai peur Julia. J’ai peur de tellement de choses. Tu vas me reprocher mes absences en grandissant. Comment gérer les tournées, les
festivals estivaux ?

Tu t’es arrêtée devant cette grille où on parlait cette langue si familière. Tu as ouvert grand les yeux. Tu m’as suivi à l’intérieur. C’était une grande maison transformée pour accueillir des enfants comme toi.

Il y avait cette fille qui me fixait, Julia, elle avait des accents psychopathes dans son regard. Etait-elle une de ces folles qui viennent à nos concerts en ne pensant qu’à nous mettre dans leur pieu ? On n’était pas si connu que ça en France. Des petites salles par ci par là, pas de quoi déclancher une émeute. On passait de temps en temps sur les chaînes musicales. Certes, mon histoire avec ta maman était cachée au grand public, on devait se préserver, ma puce, pour toi, pour notre couple.

« Morgaaaaaaaaaaaneuh »

Une petite bouille aux cheveux charbon se jeta sur elle.

« Veux pas, veux pas »

Un jet acide rongeait ses traits déformés par la frayeur. J’étais tétanisé Julia. Allais-tu aussi me faire une scène ? Oserais-je t’abandonner si, toi aussi, tu déversais tes larmes cristallines ?

j'adore
vivement la suite !!!!

Super. Vraiment bien !!

Rien à dire,

j'ai compris !

Une suite !

J'avais oublié de te dire mon appréciation :

J'aime <3

Juste la facon dont tu l'écrit, je dois relire plusieurs fois pour bine comprendre, en tout cas, c'est très bien écrit !

Ah ... encore une super fiction !

j'aime énormément !!!

c'est vrai que c'est pas évident à comprendre à certains moments, mais c'est beau !!! alors t'es pardonnée !

et je suppose que ça s'éclaircira par la suite ..

Continue comme ça !